Le PDG d’AstraZeneca a essayé de dédramatiser les critiques que de nombreux politiciens européens ont adressées au façonnier du vaccin contre la pandémie Covid-19 à l’université d’Oxford. Il faut admettre qu’AstraZeneca a été incriminé de mensonge et de cacher certaines informations. En sus de ça, il a été aussi accusé de ne pas faire preuve de respect des termes de son contrat avec l’UE.
Une tergiversation au pire moment
Une opportunité est offerte au laboratoire anglo-suédois le mercredi 27 janvier pour s’expliquer de leur retard, mais ce dit laboratoire à décliner sa participation à la dernière minute. Il n’a pas donné des explications pour innocenter ce geste qui envenimera la situation. AstraZeneca a éveillé un tumulte le vendredi 22 janvier en déclarant être incapable de fournir la totalité des vaccins qu’il a promis à l’UE à cause de l’échéance attendue. Ce laboratoire a affirmé que Bruxelles n’est pas susceptible de recevoir environ 20 millions de doses du vaccin d’Oxford au lieu des 80 millions annoncées. Il pensait que le laboratoire AstraZeneca est son associé le plus fiable dans la lutte contre Covid_19. AstraZeneca a été le premier laboratoire auquel l’UE a signé un contrat d’achat de vaccin. Il est noté que pour le moment la France et l’Allemagne sont les seuls capables d’utiliser les vaccins de Moderna et Pfizer/BroNtech. Mais, la France quant à elle comptait plus sur le vaccin d’Oxford que Pfizer qui la semaine passée a rencontré des problèmes de mis en garde contre les retards de livraison. Ce retard de livraison fut observé parce que le vaccin doit être maintenu à une température basse bien qu’il soit plus facile à confier.
Un doute de préférence
Pour donner une explication sur son retard, le laboratoire a affirmé qu’il avait un problème sur l’un des sites européens selon Süddeutsche Zeitung. Par contre, les réponses apportées ont été pour les Européens un manque de clarté et d’imprécision. Sur ce, les Français ont soupçonné AstraZeneca d’avoir faire preuve de favoritisme au Royaume-Uni, car ils n’ont eu aucune difficulté à recevoir toute leur dose commandée par le laboratoire. L’Europe par sa curiosité veut savoir si le laboratoire a usé des productions des sites de L’UE pour se rassurer que le Londres ne manque de rien. La commissaire européenne Stélla Kyriakidou demande à savoir la dose qui a été produite jusqu’à présent, et dans quels pays, ces dernières ont été exportées.